Présentation

Bonjour à tous ! Merci de vous arrêter un instant sur mon blog financier...
Vous pouvez y découvrir le suivi de mon portefeuille boursier, un portefeuille réel géré seul depuis 2006. Mes investissements pour le très long terme sont réalisés à travers une sélection de fonds de placement (aussi appelés OPCVM ou Sicav).
Pour consulter les lignes précises du portefeuille, allez dans les menus sur la colonne de droite, puis à la rubrique "Mon portefeuille".
En plus de vous tenir au courant de l'évolution de ce portefeuille, je serai amené à poster des commentaires sur mes idées du moment, des articles que je trouve intéressant... etc. N'hésitez pas à laisser vos commentaires, suggestions ou questions.

vendredi 29 avril 2011

"La décote boursière des minières face à l'or milite pour un rattrapage de ces valeurs"

Rien ne semble atténuer l’appétit des investisseurs pour l'or. Soutenu par les troubles dans les pays arabes et les incertitudes sur la croissance mondiale, le prix de l'once a dépassé 1.500 dollars. Particulièrement optimiste, Alain Corbani, gérant du fonds Global Gold & Precious, estime que les cours peuvent atteindre de nouveaux records d'ici la fin de l'année. Pour en profiter, il mise sur des compagnies minières fortement décotées.

Capital.fr : L'or vole de record en record... ne doit-on pas craindre une bulle ?
Alain Corbani : Non, car nous n'assistons pas à une flambée irrationnelle. Certes, les cours évoluent à des niveaux proches de leur sommet historique, mais ils affichent une hausse de seulement 6% depuis le 1er janvier. Et, ils restent encore loin du pic des années 1980, si l'on prend en compte l'inflation. En l’incluant, le prix de l'once avait atteint à cette époque l'équivalent de 2.300 dollars.

Capital.fr : Vous pensez donc que la hausse va continuer ?
Alain Corbani : Les fondamentaux sont en tous cas particulièrement favorables. Contrairement aux idées reçues, le métal jaune n'est pas corrélé à l'inflation ou au dollar mais dépend plutôt des taux d'intérêts réels, c'est-à-dire corrigés des prix à la consommation. Lorsque ceux-ci sont bas, cela a toujours constitué historiquement un moteur de performance pour le métal jaune. Or, avec la crise de la dette, les Etats ont tout intérêt à ce qu'ils restent peu élevés, voire négatifs, car cela leur faciliterait la tâche pour ramener leurs finances à des niveaux acceptables. De plus, pour maintenir leur compétitivité, tous les pays cherchent actuellement à conserver une monnaie faible, afin de doper leur croissance grâce aux exportations. Voyant cela, de nombreux investisseurs sont donc tentés de délaisser ces devises, l'or leur offrant alors une parfaite alternative. A ces éléments s'ajoutent les troubles dans les pays arabes, qui entraînent une flambée du pétrole et font craindre pour la croissance mondiale. Dans ce contexte, l'or devrait poursuivre sa hausse, et pourrait approcher 1.900 dollars d'ici la fin de l'année.

Capital.fr : Pourquoi votre fonds perd-il alors plus de 3% depuis le début de l'année malgré la hausse du métal jaune ?
Alain Corbani : Nous sommes investis à 90% dans des compagnies minières basées au Canada, aux Etats-Unis et en Australie, qui sont cotées en dollars locaux. Toutes ces monnaies se sont fortement dépréciées face à l'euro depuis le début de l'année. Par exemple, le billet vert a perdu près de 6% face à la monnaie unique, ce qui a mécaniquement affecté la performance du fonds, ce dernier n’étant pas protégé contre les variations des devises. Il faut aussi souligner les performances décevantes des valeurs du secteur. Elles ont en effet pâti de l'augmentation des cours des matières premières, qui pèse sur leurs coûts, l'extraction étant une activité très gourmande en pétrole. Et ce segment de la cote subit aussi de plein fouet la concurrence des ETF sur l'or, ces produits indiciels répliquant directement les cours de l'once.

Capital.fr : N'est-il donc pas plus intéressant de cibler directement sur un ETF ?
Alain Corbani : Tout dépend du risque que vous êtes prêt à prendre. Les actions des minières sont plus volatiles que l’or, mais leur potentiel de gain est aussi plus élevé. Sur le long terme, des études ont démontré qu’une hausse de 10% des cours de l’once entraînait une progression de 17% des titres des valeurs minières. En outre, les investisseurs pourraient bien revenir rapidement sur ces valeurs car elles sont extrêmement bon marché. Elles se paient actuellement 22 à 25 fois les bénéfices 2011, contre 40 fois historiquement. Leur décote par rapport au prix du métal jaune est elle aussi très importante, ce qui milite pour un rattrapage.

Capital.fr : Cela reste toutefois un marché risqué...
Alain Corbani : C'est vrai, les actions des mines d'or affichent une volatilité proche de 30% en moyenne, contre 20% environ pour l'ensemble du marché actions. Mais nous cherchons à limiter ce risque, notamment en consacrant une partie du portefeuille à de l'or physique (5% environ actuellement) et en diversifiant le fonds sur toute la chaîne de production, de la recherche de nouveaux gisements à l'extraction de minerais.

Capital.fr : Quels acteurs privilégiez-vous ?
Alain Corbani : Nous concentrons 70% de nos investissements sur des entreprises productrices, à l'image de Barrick Gold ou Goldcorp, car ce sont les sociétés les plus solides. Elles sont souvent implantées depuis de nombreuses années et génèrent des bénéfices récurrents. Du côté des firmes spécialisées dans l'exploration, nous évitons celles à un stade peu avancé de leur développement, qui sont toujours à la recherche de nouveaux capitaux pour financer leur activité. Toujours par prudence, nous nous gardons de cibler les acteurs trop exposés à des régions où les risques géopolitiques sont élevés, comme l'Afrique ou la Russie.

Capital.fr : Investissez-vous uniquement dans des sociétés liées à l'or ?
Alain Corbani : Le fonds Global Gold & Precious est aussi exposé aux secteurs de l'argent et du palladium, qui en tant que métaux précieux peuvent au même titre constituer une protection. Comme ces matières premières sont aussi utilisées dans l'industrie, elles bénéficient en plus de la reprise économique. Pour autant, nous n'y consacrons que 10% du portefeuille, car les cours de ces produits sont plus volatils que ceux de l'or. D'autant que certains ont déjà vu leur prix s'envoler. L'argent, par exemple, a gagné 50% depuis le début de l'année et 150% en un an.

(Thomas Le Bars - Capital.fr - 27/04/11)

lundi 18 avril 2011

Europe de l'Est : la dernière lettre d'East Capital (avril 2011)

Voici la dernière lettre d'East Capital sur les marchés d'Europe de l'Est, en français, et d'un format légèrement modifié par rapport à l'ancienne version.
Vous trouverez comme à l'habitude une revue des marchés de Russie et CEI, des marchés baltes, d'Europe Centrale et d'Europe du sud-est.
Le point sur les différents portefeuilles traité auparavant dans cette lettre figure désormais sur les rapports mensuels des fonds.

le lien pour télécharger le fichier pdf

samedi 16 avril 2011

"Les déboires du nucléaire vont doper les valeurs liées aux énergies renouvelables"

Les spécialistes des technologies vertes retrouvent les faveurs des investisseurs depuis Fukushima. Ce mouvement pourrait durer, assure Matthieu Giuliani, gérant du fonds Energies Renouvelables chez Banque Palatine. Pour limiter le risque sur ces valeurs particulièrement volatiles, il investit aussi sur des géants de l'énergie, comme General Electric ou GDF Suez.

Capital.fr : Le secteur des énergies renouvelables reprend des couleurs en Bourse depuis le début de l'année... tendance durable ou simple rebond technique ?
Matthieu Giuliani : Ce qui n'était au départ qu'un simple effet de rattrapage est en train de redevenir un thème à la mode. Depuis la catastrophe nucléaire japonaise de Fukushima, les investisseurs s'interrogent logiquement sur la pérennité de l'atome et s'aperçoivent qu'il faudra inévitablement trouver des sources d'énergie alternatives. Ces déboires du nucléaire devraient donc entraîner un rebond des investissements dans les technologies vertes et doper les valeurs liées à ce secteur en Bourse.

Capital.fr : Pourquoi l'énergie verte serait-elle privilégiée au gaz ou au charbon ?
Matthieu Giuliani : Les centrales à charbon rejettent beaucoup de dioxyde de carbone. Je ne crois donc pas à l'essor de cette énergie. Une utilisation intensive pourrait en effet entraîner une hausse des coûts des entreprises européennes, qui doivent acheter des droits à polluer lorsqu'elles émettent trop de CO2. Le gaz naturel est une autre solution, d'autant que les cours ont chuté de 60% en trois ans. Mais les fournisseurs sont basés principalement dans des pays politiquement instables, comme la Russie, lorsque les énergies renouvelables sont produites localement. De plus, les gouvernements devront investir dans les technologies propres s'ils veulent respecter leurs engagements. Les membres de l'Union européenne par exemple doivent faire passer à 20% la part des énergies renouvelables dans la production énergétique totale d'ici 2020.

Capital.fr : Les gouvernements sont-ils à même de tenir ces promesses dans un contexte d'austérité budgétaire ?
Matthieu Giuliani : De nombreux pays, à l'image de la France, ont en effet revu en baisse leurs subventions, mais nous avons probablement atteint le point bas sur ce plan. La montée en puissance des partis écologistes, à l'image du succès des Verts en Allemagne aux dernières élections régionales, pourrait aussi accélérer le mouvement. En outre, le secteur est de moins en moins dépendant des subventions. Et sa compétitivité augmente à mesure que les prix de l'énergie, et notamment ceux du pétrole, flambent. D'ailleurs, les entreprises se remettent à investir dans le domaine. BP a récemment alloué 2 milliards de dollars pour développer cette année son pôle d'énergies alternatives, l'allemand E.ON a débloqué 2,6 milliards d'euros pour les trois prochaines années, et EDF vient de lancer une offre de rachat sur sa filiale EDF Energies Nouvelles.

Capital.fr : Doit-on craindre un emballement excessif en Bourse ?
Matthieu Giuliani : Les valorisations n'ont plus rien à voir avec celles de 2007. Les actions liées aux énergies renouvelables s'échangent entre 0,5 et 1,5 fois le chiffre d'affaires, contre plus de 10 fois il y a quatre ans. Certes, elles restent légèrement plus chères que le reste du marché. Mais cette prime se justifie par de meilleures perspectives de croissance (entre 10 et 15% cette année).

Capital.fr : Comment réduisez-vous le risque sur ces valeurs particulièrement volatiles ?
Matthieu Giuliani : Nous investissons une part importante de notre portefeuille (actuellement 40%) dans des géants de l'énergie, dont seulement une partie du chiffre d'affaires dépend du renouvelable. C'est notamment le cas de GDF Suez, de l'espagnol Iberdrola ou encore de l'américain Général Electric. Du côté des "pure player", nous privilégions les spécialistes du solaire (17% de notre portefeuille). Leur productivité devrait continuer à s'améliorer et cette technologie pose moins de problèmes d'implantation que l'éolien. Nous nous permettons par ailleurs quelques paris spéculatifs, sur de très petites valeurs comme le français Environnement S.A, ou encore Facilasol, coté au marché libre.

(Thomas Le Bars - Capital.fr - 13/04/11)

Retour sur les fonds écologie et nouvelles énergies

La catastrophe nucléaire de Fukushima au Japon pèse sur les valeurs du secteur et ravive l'intérêt pour les "green tech".
Analyse et commentaire dans l’interview réalisée sur le REVENU TV.
Cliquer ici pour regarder la vidéo.

(Frédéric Lorenzini - Morningstar - 14/04/11)

Allianz prédit une décennie en or pour les small caps

Small and mid cap companies outperformed the broad equity market by some distance over the past decade, a study from Allianz Global Investors has revealed, leading the firm to conclude that a golden decade for the asset class lies ahead.
While global equities grew by more than 40% from January 2001 to March 2011, global small and mid caps more than doubled in the same period as measured by the MSCI World Small Cap (Total Return) index. According to the study, this was especially the case during economic upturns.
Illustrating this point, Frank Hansen, chief investment officer for European small and mid caps and manager of the Allianz RCM Europe Small Cap Equity fund at Allianz Global's RCM unit said: 'Small and mid caps strongly benefit from cyclical upturns which is often translated into higher earnings.' Such companies are often in the middle of a growth path and run very focused businesses, he says. 'Often world market leaders in their niche, these companies have substantial pricing power which translates into a strong earnings momentum.'
Hansen, who is A-rated by Citywire, added: 'Given the current macro economic outlook I would expect the golden decade for small caps to continue with the current cycle'.

The study entitled 'Is small beautiful?' revealed Spanish small caps as the biggest outperformers, beating the country's large cap companies by 119.9% from 2001 to 2011. Commenting on this Hansen said: 'The Spanish economy suffers from structural problems, the high public debt burden and the necessary deleveraging. Thus investing in Spanish stocks requires very careful stock selection.'
Despite this Hansen believes there are a few interesting small cap stocks with attractive international exposure such as Sol Melia, a hotel chain with a strong footprint in vacation resorts in Latin America.
In comparison German small caps outperformed large caps by a lesser degree - 64.7% - over the same period. On this Hansen said: 'Germany's economy continues to show a very strong improvement, driven by exports and investments. Economic growth rates are strong and have been revised upwards recently. Unemployment rates are heading lower and corporate profits keep on rising. There are lots of market leading companies, especially offering high quality products, that also meet the growing demand of the emerging markets. Therefore German export-oriented small caps like Gea, Fuchs Petrolub or Hugo Boss continue to look attractive.'
Small cap stock picks in France Hansen reveals as engineering consultancy firms like Assystem, luxury goods companies such as Laurent Perrier and specialty pharma companies like Virbac.
While on Italy he said: 'Italy has structural problems, but in terms of the debt crisis it's the relatively safest of eurozone’s peripheral countries. Though domestic economic activity continues to underperform, Italy has attractive niche companies that operate successfully on the world market; examples can be found in the consumer sector, for example leather fashion company Tod's or Internet fashion retailer Yoox.'

(Amy Williams - Citywire - 15/04/11)

jeudi 14 avril 2011

L'or et l'argent flambent, les Français vident les fonds de tiroir


Cours de l'or en dollars

La flambée des cours des métaux précieux amène de nombreux Français à vendre de l'argenterie ou des bijoux de famille, voire des pièces d'or et d'argent retrouvées dans les recoins d'une cave ou d'une maison, selon les professionnels.
Depuis deux ans, "le nombre de clients a doublé", confie Alexandre Lévy, 26 ans, qui les accueille chez Euro-Pièces d'or, l'un des nombreux bureaux de change spécialistes des métaux précieux, dans le quartier de la Bourse à Paris.
"Beaucoup de gens ramènent des couverts en argent, oubliés dans des tiroirs. Quand il se mettent à nettoyer une maison, ils trouvent aussi des pièces d'argent", explique-t-il. Les Français ont toujours aimé les métaux précieux, considérés comme un bon rempart contre les risques d'inflation, rappelle François de Lassus, du courtier CPoR. Et depuis quelques années, des inquiétudes persistantes concernant la valeur des emprunts d'Etat de la zone euro ont réveillé le marché. En moins de dix ans, le prix de l'or a quintuplé, atteignant lundi un pic de 1.478,18 dollars l'once (32,3 euros le gramme) sur le marché de Londres. L'argent-métal n'est pas en reste, propulsé le même jour à 41,95 dollars l'once (1.480 euros le kilo), un sommet depuis 1980.
"Une simple fourchette en argent peut valoir vingt ou trente euros. Les gens sont très surpris quand on leur dit combien ça vaut", souligne Philippe Chickli, 43 ans, qui a ouvert en janvier le minuscule Comptoir d'Or Réaumur. Pour les bijoux anciens, "neuf fois sur dix, les vendeurs sont très agréablement" surpris par le prix offert. Résultat, la moitié d'entre eux reviennent, selon le "livre de police" dans lequel il répertorie toutes les transactions.
Chez Euro-Pièces d'or, les particuliers apportent aussi des "vieilles dents en or", parfois "quatre ou cinq dans la journée", mais surtout "beaucoup de bijoux anciens", dont "de belles choses, des parures, qui doivent ensuite partir à la fonte", faute d'un marché de l'occasion où les revendre, déplore Alexandre Lévy. Certains avaient "oublié que leur grand-père leur avait laissé un rouleau de 50 pièces d'or...
On trouve des pièces dans des cheminées, des pots, des cuisinières", rapporte Patrick Merson, patron du cambiste Merson. Dans une vieille maison, l'or déniché était parfois "caché à l'intérieur d'un mur", se souvient Yan Longagna, cambiste à la Compagnie de la Bourse. L'heureux découvreur tombe alors rarement sur des bijoux ou des lingots mais plutôt sur des "Napoléon", ces pièces d'or de 20 francs à l'éffigie de l'Empereur ou de ses successeurs. Près de 615 millions de "Nap" ont été frappés en France en deux siècles, soit "l'équivalent de 3.000 tonnes d'or", cent milliards d'euros aux cours actuels, selon François de Lassus. Ces pièces représentent les deux tiers du stock total de métal fin détenu par les Français. Une partie du pactole a été entre-temps fondue, ou vendue à l'étranger, pour financer l'effort de guerre en 1870, puis en 1914, rappelle-t-il. Le Napoléon plaît particulièrement car il est plus abordable (196 euros) que le lingot d'un kilo d'or (32.329 euros), selon les cambistes, qui affirment recevoir autant d'acheteurs que de vendeurs. L'or, considérée en 1923 comme une "relique barbare" par le célèbre économiste britannique John Maynard Keynes, semble même séduire les jeunes. Alors que l'acheteur-type a longtemps été âgé de 50 à 70 ans, "maintenant vous en avez énormément de 30 à 45 ans", des "jeunes cadres recherchant une sécurité" pour leurs placements, avec en mémoire "certaines actions achetées à la Bourse à vingt euros qui valent maintenant un euro", relève Patrick Merson.

(AFP - 14/04/11)

mercredi 13 avril 2011

Portefeuille : Achat


Ville de Monterrey au Mexique

Pour le mois d'avril, j'initie une nouvelle ligne en utilisant les liquidités du portefeuille, en achetant des parts du fonds Aberdeen Global Emerging Markets Smaller Companies Fund, un fonds actions global sur les marchés émergents où 2/3 de l'actif est investi sur les petites capitalisations.
L'achat s'est fait à la VL du lundi 4 avril, soit 16,40 dollars.
Pour l'instant la ligne est assez modeste mais deviendra plus importante suite à un arbitrage futur.

Pour de plus amples renseignements sur le fonds et la maison de gestion :
le site de la société de gestion Aberdeen
le prospectus du fonds
le dernier rapport de gestion
la fiche Morningstar

code ISIN : LU0278937759

Je rappelle que ce genre de post n'est pas une incitation à l'achat mais simplement une information sur un fonds que je possède ; il vous appartient de prendre vos décisions vous-même concernant vos investissements boursiers !
Cela dit, les commentaires ou suggestions sont les bienvenus ;)