Présentation

Bonjour à tous ! Merci de vous arrêter un instant sur mon blog financier...
Vous pouvez y découvrir le suivi de mon portefeuille boursier, un portefeuille réel géré seul depuis 2006. Mes investissements pour le très long terme sont réalisés à travers une sélection de fonds de placement (aussi appelés OPCVM ou Sicav).
Pour consulter les lignes précises du portefeuille, allez dans les menus sur la colonne de droite, puis à la rubrique "Mon portefeuille".
En plus de vous tenir au courant de l'évolution de ce portefeuille, je serai amené à poster des commentaires sur mes idées du moment, des articles que je trouve intéressant... etc. N'hésitez pas à laisser vos commentaires, suggestions ou questions.

vendredi 23 avril 2010

Portefeuille : Pas d'investissement au mois d'avril

Ce mois-ci je décide de ne pas injecter en Bourse mes économies mensuelles provenant du salaire ; pour rappel, ces liquidités font partie du rendement lors de mes calculs hebdomadaires...

Les parties "liquidités" et "épargne liquide" de mon patrimoine risquent de bouger un peu durant les quelques mois suivants, car je viens d'acquérir un appartement. Le portefeuille boursier reste bien sûr intact. Mais, pour cause de travaux, je vais interrompre les injections en Bourse de mes économies mensuelles provenant du salaire, ceci pendant environ 4 ou 5 mois.
Après ce délai, les investissements réguliers reprendront et j'actualiserai la partie "patrimoine" sur la colonne de droite du blog.

Europe de l'Est : la dernière lettre d'East Capital (avril 2010)

Voici la dernière lettre très complète, en français, d'East Capital sur les marchés d'Europe de l'Est :
une revue des marchés de Russie et CEI, des marchés baltes, d'Europe Centrale et d'Europe du sud-est ainsi qu'un point sur les différents portefeuilles.

le lien pour télécharger le fichier pdf

samedi 17 avril 2010

JPM Natural Resources's Henderson slashes gold weighting

JP Morgan commodities star manager Ian Henderson has cut the gold weighting of his £2 billion JPM Natural Resources fund to its lowest level in almost two years.

The move comes as debate rages as to whether gold, which comprises around 85% of the gold and precious metals sector, is the latest asset bubble, or whether the investment story still has some way to run.
At the end of February, Henderson's gold and precious metals weighting had fallen to 29.9% - well below its historical peak of 44.5% in February 2009 - with Henderson reducing his holding in London-listed Russian gold miner Petropavlovsk (formerly Peter Hambro Mining ) from 2.2% last December to 1.6% at the end of March.
The fund's gold and precious metals weighting is currently at its lowest level since August 2008, with Henderson also reducing his position in copper miner Freeport-Mcmoran Copper, from 2.3% last December, to 1.4%.
Henderson's cash weighting has swelled as proceeds from the gold sales mount, with cash up from 2% in December to 7.5% at the end of March as Henderson seeks to take some profits in the sector after a strong run.
Henderson has outperformed his IMA Specialist benchmark comfortably over the last year, posting a return of 79.6% compared to the average 50.6% for the sector.
In the first quarter of 2010 the fund, which is part of Citywire Selection, has continued to motor, returning 12.3%, compared to the HSBC Global Mining and Energy (75:25) benchmark's 9.6% gain.
Over the same time frame gold has risen 5.6%, compared with a 2.8% rise in gold equities.
Henderson's largest sector weighting now is base metals and diversified miners, which comprised some 31.6% of the fund at the end of March.

(Matthew Goodburn - Citywire - 16/04/10)

samedi 10 avril 2010

"Méconnue des investisseurs, l'industrie forestière offre un potentiel d'appréciation considérable en Bourse"

Avec des rendements annuels de 15% et une raréfaction de l'offre, l'industrie forestière possède de solides atouts qui ne sont pas intégrés en Bourse. Une bonne occasion pour se positionner, estime Gabriel Micheli, gérant du fonds Pictet Timber, et ainsi diversifier son portefeuille en misant sur des exploitants de forêts et des fabricants de pâte à papier.

Capital.fr : Quel est l'intérêt d'investir sur le thème de l'exploitation forestière en Bourse ?
Gabriel Micheli : L'industrie sylvicole est particulièrement méconnue des investisseurs. Du fait du désintérêt de la communauté financière, les actions du secteur sont pour la plupart fortement sous-valorisées, alors que les fondamentaux sont solides. La demande de bois est en constante augmentation et l'offre diminue en raison notamment de la déforestation. Chaque année, 10 milliards d'hectares de forêt partent en fumée et les Etats imposent des règlementations d'exploitation de plus en plus strictes. Tout cela entraîne une forte hausse des prix. Entre la revalorisation des forêts et les revenus issus de la vente de bois, les rendements annuels moyens tournent autour de 15% sur les 20 dernières années.

Capital.fr : Le secteur a toutefois souffert de la crise...
Gabriel Micheli : La récession a certes entraîné une baisse du prix des forêts, mais celle-ci est restée limitée. Les prix n'ont reculé que de 10% l'année dernière aux Etats-Unis. Cela s'explique par les qualités défensives du secteur : lors d'une crise, les exploitants vont vendre moins de bois, mais la valeur de leur forêt va continuer de s'apprécier, car le prix des arbres grimpe lorsqu'ils vieillissent, comme le bon vin.

Capital.fr : Les actions des entreprises exploitant des forêts ont pourtant plongé dès la fin 2008...
Gabriel Micheli : C'est vrai, mais cette baisse s'explique par les circonstances exceptionnelles de la crise. La plupart des forêts sont détenues par des investisseurs institutionnels ou des fonds de dotation. Les marchés ont craint qu'ils ne bradent leurs actifs pour faire face à leur besoin en liquidité. Mais ces investisseurs ont préféré se dégager de leurs positions les plus spéculatives et ont conservé les investissements de long terme, comme les forêts. Les prix ont donc bien mieux résisté que prévu, ce qui n'est pas encore intégré dans les valorisations. Malgré le net rebond des titres des exploitants de forêts en 2009, ils affichent toujours une décote de 40% par rapport au prix des actifs non cotés. Le potentiel d'appréciation est donc considérable en Bourse.

Capital.fr : Comment cela se traduit-il dans votre portefeuille ?
Gabriel Micheli : Nous misons essentiellement sur des exploitants de forêts basés aux Etats-Unis, (40% de notre portefeuille), où la plupart des maisons sont construites en bois. Le secteur sylvicole devrait donc profiter du redressement du marché immobilier américain. Certes, celui-ci devrait être lent et chaotique, mais les mises en chantier sont tellement basses actuellement que le risque de rechute est faible. Nous apprécions tout particulièrement des acteurs tels que Weyerhaeuser et Plum Creek , qui devraient gagner des parts de marché au détriment de leurs concurrents canadiens, dont une partie de la forêt est menacée par la pullulation d'un coléoptère, le Dendroctone du pin ponderosa. Nous consacrons aussi 20% de notre portefeuille à des sociétés exploitant la pâte à papier dans les pays émergents, un segment plus dépendant de la conjoncture, ce qui nous permet de jouer la reprise de l'économie. Nous avons d'ailleurs déjà profité de ce pari. Les prix de la pâte à papier ont en effet explosé ces derniers mois grace à la reprise de la demande chinoise, et plus récemment à cause du tremblement de terre au Chili, qui représente près de 10% de la production mondiale.

(Thomas Le Bars - Capital.fr - 07/04/10)

5 points à prendre en compte pour apprécier un fonds - 3ème partie : le style

L’observation et l’analyse du portefeuille d’un fonds permet le cas échéant d’identifier les biais du gérant, de voir comment il gère sa poche de cash. Le portefeuille permet en outre calculer la Boîte de style du fonds.

La Boîte de style indique le barycentre, en quelque sorte le centre de gravité, du fonds. Dans le cas du fonds actions précédent il s’agit d’un profil valeurs moyennes. On trouve certes dans le portefeuille du fonds des grandes capitalisations et aussi quelques petites capitalisations boursières, mais le "gros" du fonds est sur des valeurs moyennes et sur le coté gauche (Value) du mapping.



Connaître le profil de style du fonds n’est pas sans conséquence pour l’investisseur. En effet, il existe des phases de marché qui sont plus ou moins favorables aux grandes capitalisations ou aux moyennes capitalisations, aux fonds de type "croissance" ou au fonds de type "value".

Il y a 10 ans, au moment de la bulle internet et de la "nouvelle économie", les valeurs de croissance avaient le vent en poupe. Les sociétés comme Vivendi qui s’étaient fortement endettées pour procéder à des acquisitions afin de "préparer l’avenir" atteignaient des PER stratosphérique. Dans le même temps, les valeurs de rendement, sur des industries arrivées à maturités, offrant une bonne visibilité mais des perspectives de croissance peu importantes se négociaient avec un PER bien plus raisonnable.

la suite de l'article : ici (5 points à prendre en compte pour apprécier un fonds - 3ème partie : le style)

les précédents messages sur le sujet : http://yayofonds.blogspot.com/2009/12/5-points-prendre-en-compte-pour.html

(Frédéric Lorenzini - Morningstar - 09/04/10)

mercredi 7 avril 2010

Les marchés mondiaux au 1er trimestre 2010



(Bespokeinvest - 01/04/10)