Présentation

Bonjour à tous ! Merci de vous arrêter un instant sur mon blog financier...
Vous pouvez y découvrir le suivi de mon portefeuille boursier, un portefeuille réel géré seul depuis 2006. Mes investissements pour le très long terme sont réalisés à travers une sélection de fonds de placement (aussi appelés OPCVM ou Sicav).
Pour consulter les lignes précises du portefeuille, allez dans les menus sur la colonne de droite, puis à la rubrique "Mon portefeuille".
En plus de vous tenir au courant de l'évolution de ce portefeuille, je serai amené à poster des commentaires sur mes idées du moment, des articles que je trouve intéressant... etc. N'hésitez pas à laisser vos commentaires, suggestions ou questions.

samedi 31 janvier 2009

Les cent plus grosses entreprises des pays émergents

Même si la crise va faire beaucoup de dégats, voilà un article qui renforce mon idée d'investir massivement chez les pays émergents. En ce moment c'est la pluie de mauvaises nouvelles partout dans le monde mais sachez par exemple que je ne cherche pas à imaginer comment sera la Russie fin 2009 ou si j'aurai de bonnes plus values fin 2009, mais plutôt comment sera la Russie en 2030... et là-dessus j'ai très bon espoir !
Rappelez-vous que tous les gens du "milieu" ne voient pas plus loin que le bout de leur nez !


Temple à Bali (Indonésie)

Dans la troisième édition de l’étude de BCG sur les plus grandes entreprises des pays émergents, dix neuf nouvelles sociétés font leur apparition dans un groupe toujours dominé par les pays du Bric et de plus en plus en concurrence avec les multinationales occidentales et japonaises.

Pour la troisième année, le cabinet international de consultants Boston Consulting Group (BCG) vient de publier son étude sur les cent premières entreprises des pays émergents. Cette nouvelle édition, « The 2009 BCG 100 New Global Challengers », indique que ces entreprises « transforment le paysage concurrentiel mondial par leur expansion rapide et leurs performances remarquables ». Reste que la crise économique et financière mondiale a également eu un effet négatif sur leur développement : « si la plupart ont résisté aux pressions, 2008 s'est révélée difficile pour certains en matière de création de valeur et le resserrement du crédit pourrait constituer un obstacle à leur croissance jusque-là vertigineuse ». Cependant, selon les experts de BCG, « si le mouvement est ralenti, il est néanmoins durable, en témoigne les 19 nouveaux challengers qui intègrent le classement et confirment leur capacité à croître rapidement et à acquérir des positions concurrentielles fortes à une échelle globale ».

Pour BCG, trois raisons principales sont à l’origine de leur succès :

- Un avantage concurrentiel au départ : un accès privilégié aux marchés en forte croissance ou à de précieuses matières premières, la disponibilité d’une main d’œuvre à bas coût, et une absence de lourdeurs structurelles ou technologiques qui grèvent souvent la compétitivité des entreprises issues des marchés matures ;

- l’ambition de devenir leaders mondiaux avec un goût du risque, un coût du capital perçu comme faible, et une bonne protection contre les OPA hostiles, en particulier pour les entreprises contrôlées par un Etat ou une famille ;

- une stratégie de croissance exogène rapide, à travers des partenariats relatifs aux technologies ou à la distribution, ou par le biais de fusions-acquisitions internationales (les challengers 2009 du secteur des matières premières ont réalisé en moyenne 9,5 opérations de ce type par entreprise entre janvier 2000 et mi-2008) sans oublier le degré important d’internationalisation de leurs équipes de management, facteur clé de la réussite d’entreprises comme la chinoise Lenovo ou l’indienne Tata.

Voici les principales données fournies par le cabinet de consultant :

- ces 100 entreprises rattrapent rapidement ou ont même déjà dépassé leurs rivales aux Etats-Unis, en Europe ou au Japon ;

- le chiffre d’affaires cumulé des 100 challengers s’élève à 150 milliards de dollars en 2007. Par ailleurs, les 100 challengers ont réalisé au total 88 fusions-acquisitions internationales en 2007 ;

- les pays d'origine de ces entreprises sont de plus en plus nombreux mais un classement toujours dominé par les pays du Bric (Brésil, Russie, Inde, Chine) ; la Chine est en tête, avec 36 entreprises, suivie par l’Inde (20 entreprises), le Brésil (14), le Mexique (7), et la Russie (6) ; parmi les 19 nouvelles entreprises de la liste, 5 sont issues des pays du Golfe persique, région entrante dans ce classement ;

- il existe une réelle diversité en termes de répartition sectorielle : le secteur des matières premières et de la métallurgie est le mieux représenté avec 20 entreprises ; la liste inclut également un nombre significatif de représentants de l’industrie agroalimentaire (13), et de constructeurs et équipementiers automobiles (10) ;

- au-delà de quelques entreprises mondialement connues, comme Lenovo (Chine) ou Tata (Inde), la liste contient aussi des noms moins célèbres, comme Agility (Koweït), l’un des 10 premiers prestataires de services logistiques au monde, ou Dalian Machine Tool Group, le plus important fabricant chinois de machines-outils.

(Louis-Jean de Hesselin - LesNouveauxMondes - 30/01/09)

jeudi 29 janvier 2009

Les devises d'Europe de l'Est sont toujours plombées par la crise

L’aversion pour le risque continue de jouer à plein. Pour preuve, même avec l’annonce des bonnes surprises outre-Rhin, l’euro peine encore à engranger les gains sur le marché des changes. Toutefois, la situation de la monnaie unique européenne reste toujours plus enviable que celle des devises d’Europe de l’Est.

En effet, ces dernières peinent réellement à se relever face à la crise économique mondiale. Hier encore, le zloty a été beaucoup bousculé sur le marché des changes, sanction immédiate de la décision de la banque centrale polonaise. En effet, alors que l’environnement économique se dégrade en Pologne, la banque centrale a seulement consenti à une baisse d’un quart de point de son taux directeur alors que les cambistes attendaient beaucoup plus. En effet, après la baisse d’un point entier, en novembre et en décembre, les analystes s’attendaient à ce que la banque centrale décide, au minimum, une baisse d’un demi-point.

Outre le zloty, c’est également le rouble qui est beaucoup bousculé depuis le mois de novembre sur le marché des changes. En fait, le rouble subit les contre coups de la crise financière, qui fut lus tardive mais semble tout aussi aigüe en Russie, et la baisse des prix des matières premières. Depuis quelques mois, la banque centrale est massivement intervenue pour éviter un effondrement du rouble mais, la semaine dernière, elle a annoncé qu’elle avait décidé de laisser filer le cours du rouble sur le Forex. Après quelques jours de flottement, la sanction n’a pas tardé puisque le rouble vient d’inscrire un plus bas face au dollar et à l’euro aujourd’hui.

(le blog finance - 29/01/09)

Pétrole : Petrom va licencier 3.000 personnes en Roumanie

Signe des temps ... Qui l'eut cru au mois de juillet dernier, en pleine flambée du cours du pétrole ?

Petrom, le premier groupe pétrolier roumain, va licencier 3.000 personnes sur le territoire national à partir du 1er février.

Les difficultés semblent s'amonceler pour l'économie roumaine, l'annonce de ces licenciements intervenant alors que le pays est confronté à de nombreux arrêts de production dans divers domaines, et plus particulièrement dans le secteur automobile avec Renault Dacia. Dans ce seul secteur, plus de 100.000 employés pourraient être licenciés en 2009.
Dragos Parvan, le porte-parole de l'agence départementale pour l'emploi de Prahova a indiqué mercredi que Petrom avait informé son organisme de sa volonté de licencier un total de 3.000 personnes à l'échelon national. Sans donner de plus amples détails.

Petrom affirme néanmoins pour sa part qu'aucune estimation quant au nombre de licenciements envisagés ne peut être fournie à l'heure actuelle. Selon le groupe, "il n'y a pas un objectif lié au nombre des employés".
Le groupe pétrolier roumain rappelle par ailleurs que "le processus de restructuration" est loin d'être un scoop. Arguant ainsi que Petrom a "commencé depuis 2005 les programmes de modernisation", lesquels incluent notamment des licenciements, "afin d'améliorer les performances de la compagnie". Des investissements de 3,56 milliards d'euros auraient été réalisés dans ce sens depuis plus de trois ans.

En juin 2006, la compagnie avait ainsi annoncé vouloir investir sur trois ans entre 70 et 100 millions d’euros en vue de réaliser une plateforme unique de finances et TI. Soit le plus ample projet de centralisation des services de comptabilité et TI jamais mis en place en Roumanie, prévu pour être finalisé en 2009.
Afin de tenter de se prémunir de tout conflit social, Petrom précise d'ores et déjà que les licenciements se font "en accord avec les représentants du syndicat" et qu'il s'est engagé à payer les frais de re-qualification des personnes licenciées.
Selon l'agence Mediafax, un rapport du groupe fait état d'une chute de 21% de ses ventes lors du dernier trimestre de 2008 par rapport à la même période de 2007. Raison principale : l'arrêt partiel de l'activité des grands combinats.

La semaine dernière, Petrom avait annoncé avoir obtenu une ligne de crédit de 500 millions d'euros auprès de son actionnaire majoritaire, le groupe autrichien OMV, pour soutenir la restructuration et la modernisation de la compagnie.
Pour mémoire, en 2004, OMV avait racheté un paquet de 51% des actions de Petrom, la plus grande compagnie roumaine listée à la Bourse de Bucarest avec une capitalisation de 10,13 milliards de lei (2,35 milliards d'euros).
Notons que le nombre d'employés d'OMV a considérablement baissé ces dernières années, passant de 57 480 en 2004 à 40 933 en 2006, soit une baisse de 40,4 % en deux ans. Or, ce dégraissage est dû à l'intégration du roumain Petrom, considéré alors comme étant en sureffectif. Sur les 57 480 employés du groupe en 2004, 6 475 provenaient originellement d'OMV, et 51 005 de Petrom.

(le blog finance - 29/01/09)

lundi 26 janvier 2009

R. Burnand de chez Moneta : "les analystes sont trop optimistes"

Je possède un des fonds de Moneta dans mon portefeuille, Moneta Micro Entreprises. La gestion des deux fonds actions françaises Moneta Multi Caps et MME étant semblable, je vous livre l'article au complet sur le sentiment de R. Burnand à propos de l'ambiance actuelle des marchés :

Fonds d’actions françaises de 240 millions d’euros, Moneta Multi Caps se classe bien. Romain Burnand s'attend à des surprises sur certains résultats de sociétés.
Fonds de pur « stock-picking », sélectionnant des actions françaises pour leurs valeurs intrinsèques, Moneta Multi Caps a bien résisté en 2008.

Sa perte a été limitée à 31,5%, alors que l’indice CAC 40 décrochait de 42,7% et l’indice SBF 250 de 43,1%. Le FCP qui capitalise 240 millions d’euros, se classe ainsi dans les premiers rangs de sa catégorie : huitième sur 230 fonds Actions France en 2008 et quatrième sur deux ans, selon Morningstar. En 2007, sa performance avait atteint 8,6%.

« Même si l’environnement va rester instable, les stock-pickers peuvent tirer leur épingle du jeu, en évitant les sociétés qui décrochent et en misant sur celles disposant d’une capacité de rebond », estime Romain Burnand, le gérant et fondateur de la société de gestion indépendante Moneta AM.
Pouvant investir sur des sociétés de toutes tailles, le gérant mise surtout sur une sélection très pointue des titres. Pour 400 millions d’actifs gérés, sa société compte sept analystes-gérants rompus à l’exercice dans toutes les phases de marché.

Romain Burnand investit actuellement sur deux types de valeurs : des sociétés « défensives et pas surévaluées », comme Sanofi et Teleperformance ; mais aussi sur des titres offrant un caractère plus offensif. Il s’agit de valeurs touchées par la crise économique et financière, mais capables de rebond : « elles présentent des valorisations basses, sans risque de faillite », indique le gérant.
Euler Hermes en est un exemple-type. Le titre cote 25 euros, après avoir connu un plus haut de 120 euros en 2007. Assurant des crédits inter-entreprises à court terme, la société est pénalisée par la nature même de son activité. « Si l’optimisme revient, le titre peut monter très vite », estime Romain Burnand. Mais pour gagner ce pari malgré tout risqué, il est prêt à rester investi deux à trois ans.
C’est également la règle pour la cinquantaine de valeurs composant le portefeuille. Cap Gemini, cotant 24,50 euros après un plus haut de 45 euros, est un autre choix marqué. « Compte des résultats estimés pour 2008, le PE du titre est de l’ordre de 8, alors que sa trésorerie est excédentaire et que la société déploie une activité importante à l’international », indique le gérant.

Longtemps analyste financier, Romain Burnand garde un regard circonspect sur le consensus des analystes au sujet des résultats annuels des sociétés.
« Ce consensus me paraît trop optimiste. Nous allons connaître de grosses cassures, surtout dans les secteurs les plus touchés par la crise : cimentiers, construction, banques, assurances, etc. », estime-t-il.
Avec la saison des résultats qui commence, ce décalage pourrait conduire à une nouvelle baisse des actions. Mais de leur côté, les gérants stock-pickers peuvent aussi profiter de l’aubaine pour acheter des sociétés gardées en ligne de mire.

(Newsmanagers - 26/01/09)

Roumanie : futur exportateur d'électricité ?

L’industrie énergétique roumaine pourrait recevoir cette année des investissements d’un montant de 7,8 milliards d’euros ; cela pourrait faire de la Roumanie dans les prochaines années un important exportateur d’électricité, écrit le journal Romania Libera. Les sociétés Petrom et Enel envisagent d’entamer cette année des projets d’un montant de 1,2 milliard d’euros, alors que le groupe CEZ commencera les travaux d’un montant de 1,1 milliard d’euros dans la construction d’un grand parc éolien.

L’investissement le plus important dans le secteur énergétique est celui fait dans les unités numéros 3 et 4 de la centrale nucléaire de Cernavoda (sud-est de la Roumanie), soit 4 milliards d’euros, d’après l’analyste économique Aurelian Dochia, cité par la presse.

(Agerpres et Roumanie.com - 26/01/09)

jeudi 22 janvier 2009

Marché de l'or : le point de Léonard Sartoni

Avec la nouvelle année, Léonard Sartoni met à jour son suivi du marché de l'or : le travail toujours très fouillé d'un bullish convaincu !

le lien vers le fichier pdf

Europe de l'Est : bilan janvier 2009 par East Capital

Voici la dernière lettre très complète d'East Capital sur les marchés d'Europe de l'Est :
une revue des marchés de Russie et CEI, des marchés baltes, d'Europe Centrale et d'Europe du sud-est ainsi qu'un point sur les différents portefeuilles.

C'est une lettre beaucoup plus détaillée qu'East Capital a décidé de faire parvenir aux investisseurs particuliers, et en français !
Un grand merci à cette maison de gestion très professionnelle.

le lien pour télécharger le fichier pdf

lundi 19 janvier 2009

Portefeuille : Renforcement

Pour le mois de janvier j'ai renforcé vendredi dernier le fonds East Capital Balkan à la VL de 10,99 SEK. Un deuxième petit renforcement sur un autre fonds devrait avoir lieu d'ici quelques jours car je n'ai pas encore investi toute la somme que je souhaite consacrer au mois actuel.

Edit du jeudi 22 janvier : le deuxième renforcement vient d'être fait sur le fonds MEI Rusland Midcap, à la VL de 8,16 euros (cotation du mercredi à 10h sur Euronext).

Comme vous le voyez mes renforcements restent concentrés sur les marchés émergents, des marchés émergents d'Europe de l'Est qui, en ce moment, sont laissés à l'écart par bon nombre d'investisseurs et surtout d'ânes à liste ! Le retour en bonne santé de ces économies ne se fera certainement pas tout de suite mais il est clair que les sociétés sont très peu chères en ce moment (notamment en Russie) alors j'en profite...

vendredi 9 janvier 2009

Info fonds : East Capital Explorer

Petit récapitulatif des valeurs liquidatives du fonds et du cours de l'action ECEX (SE0002158568), suite à la parution de la dernière VL mensuelle :


(cliquer pour agrandir)

La décote est toujours importante mais se stabilise vers les -50% ; à noter que depuis le début de l'année, la valeur de l'action a repris près de 13%...
Je pense renforcer dans le courant du premier trimestre 2009.

samedi 3 janvier 2009

Portefeuille : Rapport de gestion 2ème semestre 2008

Voici mon rapport de gestion pour la 2ème moitié de l'année 2008 (cliquer sur les graphiques pour les agrandir...)

Mouvements sur le 2ème semestre 2008 :
Rien de changer concernant la construction du portefeuille, mes thèmes favoris étant les économies émergentes et notamment celles d’Europe de l’Est, les matières premières et de manière plus globale les petites et moyennes capitalisations. Depuis septembre 2007 j'investis régulièrement les économies provenant de mon salaire, la part de liquidités au sein du portefeuille diminuant légèrement.

Les mouvements au cours du 2ème semestre 2008 ont été les suivants :
- maintien de la part Europe de l’Est avec achat du fonds MEI Rusland Midcap et vente du fonds DWS Osteuropa
- vente de Magellan, St Honoré Inde et Certificat Vietnam et achat du fonds First State Asia Pacific Leaders
- remplacement du certificat Power Up Open End sur l’Or par un autre certificat équivalent mais avec une barrière désactivante plus petite (environ 600$)

Dans des conditions de crise panique où tout baisse fortement, le portefeuille a évidemment subi au cours du semestre des chutes hebdomadaires très importantes : - 6,43% le 25 juillet, -6,29% le 05 décembre et le mortel -13,92% le 10 octobre.
La répartition axée sur les émergents fait que le rendement global est plutôt mauvais, avouons-le, en comparaison de nos indices occidentaux. Je reste tout de même convaincu que le potentiel de croissance de ces pays existe toujours, simplement il faudra attendre un peu...
Seule bonne nouvelle : la bonne remontée des cours de l’Or sur la période.

Parmi les fonds ou produits financiers présents au sein du portefeuille (même récemment) :
les 5 meilleures progressions du semestre (du 27 juin au 31 décembre, en euros) sont : Napoléons (+16,1%) ; Or physique en grammes (+7,1%) ; Certificat Or (-6,6%) ; First State Asia Pacific Leaders (-22,5%) ; Moneta Micro Entreprises (-27%)

les 5 moins bonnes progressions du semestre sont : MEI Roemeneï en Bulgarije (-71,2%) ; JPM Global Natural Ressources (-63,5%) ; Odin Offhore (-63,4%) ; East Capital Explorer (-59,5%) ; East Capital Baltic (-56,8%)

Positions et répartitions au 31/12/08 :




Performance :
Performance 2ème semestre 2008 (27/06 au 31/12)
Portefeuille Yayofonds : -42,93%
MSCI World : -26,41%
MSCI World Small Cap : -29,25%
MSCI Emerging Markets : -39,94%

Performance YTD (28/12/07 au 31/12/08)
Portefeuille Yayofonds : -50,29%
MSCI World : -39,06%
MSCI World Small Cap : -40,50%
MSCI Emerging Markets : -50,69%


les données manquantes correspondent aux vacances prolongées ;)

Rendement annualisé depuis la création du portefeuille : -16,24%

Perspectives d'évolution du portefeuille :
Les perspectives d’évolution pour les mois à venir sont les suivantes :
- réduire la part de liquidités pour arriver à une exposition « actions + certificats + or » de l’ordre de 90%
- garder une part importante voire très importante sur les marchés émergents
- continuer à investir régulièrement

En ce moment le réflexe naturel du petit investisseur est de sous-exposer son portefeuille aux actions car il réagit suivant ses émotions : les marchés s'effondrent alors on fuit la Bourse ! C'est exactement le contraire qu'il faut faire !
Avec de la discipline et du courage on y arrive : acheter des actions en plein milieu d'une récession... et se donner rendez-vous dans 20 ans...
Lorsque les marchés seront repartis à la hausse puis que nous serons en pleine spéculation boursière, là il sera temps de réduire les renforcements mensuels.

Bon courage à tous !
Sylvain

jeudi 1 janvier 2009

Bonne Année 2009 !

Je vous souhaite à toutes et à tous une très bonne année 2009...
Du bonheur, de la santé, et accessoirement de la réussite dans vos placements boursiers ;)